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« Brun est en train de peindre (de « peinturer », dit-il) à l’aquarelle… Il suce son pinceau, il le passe sur ses tablettes de couleur, il essaie la couleur sur la paume de sa main gauche, il l’y travaille, si besoin est, avant de l’appliquer sur le papier. »

JEAN GIONO

Le Déserteur © Gallimard

 Les autochtones l’ont appelé « Le Déserteur », ils n’ont gardé en mémoire ni son nom, ni ses prénoms, ni son origine.

 C’est la seule image où Charles Frédéric Brun peint son saint protecteur. A remarquer le bas de l’étole de l’évêque, les deux drapeaux suisses, peut-être pour flatter le commanditaire, la personne pour qui Le Déserteur peint l’image.

PATOIS
Barioâ, blantsî, pënta, repënta, retchyëndre, tchyëndre.

Verbes utilisés en patois pour peindre.

 Combien coûtait une image à l’époque ?

J.C.A.L. C.F.B.
SAINT CHARLES. Jean, Charles, Antoine Locher a fait
faire cette image à Brig[non, le 3?] avril 1859

On a appelé Charles-Frédéric Brun, « Le Déserteur ». Connais-tu des surnoms, des sobriquets, donnés à des personnes de ton entourage ?

Sentier Déserteur